lundi 31 décembre 2012

jeunebook bonne annne et 2264 personne vue mon site dit par elmi


’agresseur de Mouscron: "Je suis allé trop loin, je me suiciderai plus tard"

L’agresseur de Mouscron: "Je suis allé trop loin, je me suiciderai plus tard"

L'Estaimpuisien recherché pour avoir enlevé samedi une mineure d'âge à Mouscron a été appréhendé lundi après-midi en Bretagne (France). L'homme, d'un milieu "respectable" et apparemment sans histoire, sera extradé vers la Belgique. Il voulait se suicider mais avait déclaré qu'il remettrait son geste à plus tard.

31 Décembre 2012 17h58
Un mandat d'arrêt européen avait été lancé par les autorités tournaisiennes dans le cadre d'une instruction ouverte le week-end dernier à la suite de l'enlèvement, samedi après-midi, d'une mineure d'âge de 15 ans à Mouscron. Un habitant d'Estaimpuis âgé de 35 ans, recherché depuis un peu plus de 24h dans l'espace Schengen, a été interpellé lundi en fin d'après-midi par les autorités françaises dans la localité de "La Gacilly", dans le département du Morbihan (Bretagne).      

Un jeune homme "sans histoire"
"Ce jeune homme sans histoire, d'un milieu respectable, sera prochainement extradé vers la Belgique", a indiqué lundi soir Jean-Bernard Cambier, 1er substitut du procureur du roi de Tournai. Selon le parquet de Tournai, le suspect a tenté de suicider avant son interpellation. "Je suis allé trop loin et je me suiciderai plus tard", avait d'ailleurs déjà déclaré samedi soir l'individu à l'adolescente qu'il venait d'enlever.      

Il lui avait donné rendez-vous dans un parc
La victime et son agresseur fréquentaient un centre équestre d'Estaimbourg (Estaimpuis). Quelques jours avant l'enlèvement, la maman de la victime avait rencontré l'individu et l'avait intimé de ne plus importuner l'adolescente. Par SMS, l'homme a d'abord donné rendez-vous à la jeune fille samedi après-midi au marché de Noël de Mouscron, puis dans le parc communal. C'est là qu'il l'a enlevée, après avoir eu une violente altercation avec un couple de promeneurs. Suite à diverses investigations, la police du Val d'Escaut a retrouvé vers minuit l'adolescente ligotée et inconsciente dans les toilettes de la cafétéria du château d'Estaimbourg (Estaimpuis). La victime avait des estafilades aux avant-bras.      

De l'éther, des sédatifs et de l'alcool
"L'auteur lui avait administré des sédatifs, fait boire de l'alcool et respirer de l'éther. Il avait entrepris des manoeuvres d'ordre sexuel mais avait été interrompu par l'arrivée de la police", a précisé M. Cambier. S'échappant à pied, l'individu a volé vers 2h du matin un véhicule 4X4 auprès d'un membre de sa famille, puis a pris la fuite vers la France où il a été appréhendé lundi. Dans un chemin annexe du château d'Estaimbourg, la police belge a retrouvé la voiture qui avait servi à l'enlèvement. Le véhicule était embourbé. A l'intérieur, les forces de l'ordre ont mis la main sur des médicaments sédatifs, de l'alcool, des joints de cannabis, des liens Colson, des bandes adhésives, une bâche et un sac de couchage.

La rébellion centrafricaine a réclamé de nouveau lundi le départ du président François Bozizé

La rébellion centrafricaine a réclamé de nouveau lundi le départ du président François Bozizé, affirmant vouloir prendre la ville de Damara, dernier verrou à 75 km au nord de Bangui, malgré les appels au dialogue de Paris.
(c) Afp
La rébellion centrafricaine a réclamé de nouveau lundi le départ du président François Bozizé, affirmant vouloir prendre la ville de Damara, dernier verrou à 75 km au nord de Bangui, malgré les appels au dialogue de Paris. (c) Afp
BANGUI (AFP) - La rébellion centrafricaine a réclamé de nouveau lundi le départ du président François Bozizé, affirmant vouloir prendre la ville de Damara, dernier verrou à 75 km au nord de Bangui, malgré les appels au dialogue de Paris.
"Bozizé doit partir, c'est clair, on réclame son départ, qu'il quitte le pouvoir", a affirmé à l'AFP le porte-parole de la coalition rebelle du Séléka, Eric Massi.
Selon lui, "une colonne de huit véhicules a quitté Damara pour attaquer" les positions des rebelles à Sibut, ville située sur la même route à 160 km au nord de Bangui, que le Séléka a prise samedi. "On va neutraliser cette colonne comme on le fait toujours, et allons sécuriser (prendre) Damara", a affirmé M. Massi.
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Damara se trouve à 85 km au sud de Sibut. Les forces des Etats d'Afrique centrale présentes en Centrafrique pour jouer un rôle stabilisateur y ont établi un dernier verrou sur la route de la capitale.
La rébellion a accru sa pression en dépit des appels au dialogue lancés lundi par la France, ancienne puissance coloniale, et des promesses de partage du pouvoir faites la veille par le président Bozizé.
Le président François Hollande s'est entretenu par téléphone avec M. Bozizé, appelant à "l'ouverture d'un dialogue entre les autorités centrafricaines et toutes les parties en présence, notamment la rébellion", a annoncé l'Elysée dans un communiqué. M. Hollande a invité le président Bozizé "à engager ce processus dans les meilleurs délais".
Quelques heures plus tôt, le chef de la diplomatie française Laurent Fabius avait lancé un appel similaire, soulignant que "la priorité est plus que jamais au dialogue et à l'arrêt des hostilités".
Dimanche, le président Bozizé s'était dit prêt à un dialogue sans délai à Libreville, au Gabon, proposant même la formation d'un gouvernement d'union nationale auquel pourraient participer les rebelles .
Mais ces derniers ont affirmé ne pas croire à ces promesses et menacé une nouvelle fois dès lundi matin de marcher sur Bangui. Leur porte-parole Eric Massi avait brandi pour la première fois cette menace dimanche.
Sans répondre directement à l'offre de négociations du président Bozizé, le porte-parole du Séléka a accusé lundi le gouvernement de poursuivre ses '"exactions" contre les sympathisants des rebelles à Bangui et de préparer une contre-offensive militaire dans le nord pour justifier sa ligne dure.
"Nous en appelons aux forces africaines de maintien de la paix pour qu'elles interviennent immédiatement dans la capitale pour faire cesser les exactions et assassinats de prisonniers, ou qu'elles ne nous empêchent pas de le faire", a déclaré M. Massi à l'AFP.
"Il ne fait plus aucun doute que la sincérité des promesses de François Bozizé (...) n'est pas réelle", a affirmé le porte-parole rebelle tout en disant souhaiter l'intervention du président Hollande pour organiser un entretien téléphonique entre lui-même et le président Bozizé.
M. Massi a ajouté s'être entretenu dimanche soir avec le président de l'Union africaine Thomas Boni Yayi pour qu'il intervienne auprès de Paris et du reste de la communauté internationale.
La France a envoyé des renforts à Bangui et dispose de près de 600 hommes à l'aéroport pour une éventuelle évacuation des Européens. Paris a souligné à plusieurs reprises ne pas vouloir intervenir pour sauver le régime.
Ce refus a suscité une certaine hostilité à Bangui où l'ambassade de France a été attaquée la semaine dernière par des manifestants.
Alors que les rebelles, qui ont repris les armes le 10 décembre, contrôlent désormais la plus grande partie du pays, dont les grandes villes diamantifères et aurifères, la marge de manoeuvre de François Bozizé, à la tête depuis 2003 de ce pays de 5 millions d'habitants, paraissait très réduite.
A Bangui, de nombreux Centrafricains étaient massés lundi devant les banques pour la paie de fin de mois, se disant inquiets pour l'avenir et soucieux de la flambée des prix.
"On va essayer d'acheter un peu plus de manioc pour pouvoir rester à la maison si les rebelles arrivent". Quant au réveillon, "on n'a pas la forme habituelle", a dit à l'AFP Sylvain Derouanda, gardien d'une entreprise de sécurité.
L'opposition centrafricaine s'est quant à elle déclarée sceptique sur les concessions du président Bozizé. "Il fait des promesses et ne les tient pas", a déclaré à l'AFP le principal oppossant, l'ancien Premier ministre Martin Ziguélé, plaidant pour un dialogue politique.

Merkel warns of "difficult" 2013 for Germany and eurozone

Merkel warns of "difficult" 2013 for Germany and eurozone

Merkel warns of "difficult" 2013 for Germany and eurozone

Chancellor Angela Merkel warned that for Germany “the economic environment next year will not be easier, but more difficult" in her annual New Year address. Merkel also stated that the eurozone “crisis is a long way from being overcome”.

By News Wires (text)
Chancellor Angela Merkel warned Germans that the economy, Europe's biggest, would experience a harder time next year than in 2012 and cautioned too that the eurozone debt crisis was far from over.
In her annual New Year address published Monday, Merkel said: "In fact, the economic environment next year will not be easier, but more difficult", adding: "The crisis is a long way from being beaten."
Although top exporter Germany has managed to hold up to the crisis fairly well, growth has slowed here as well since the beginning of the year.
After expanding by 0.5 percent in the first quarter of 2012, gross domestic product (GDP) grew by just 0.3 percent in the second quarter and a mere 0.2 percent in the third quarter.
And in October, the government slashed its forecast for economic output next year to 1.0 percent, compared to 1.6 percent previously anticipated.
The country's gloomy central bank has said Germany may even flirt briefly with recession early next year.
The Bundesbank also forecast that Germany would only grow by a meagre 0.4 percent next year.
Nevertheless, "it has been possible this year to have the lowest unemployment and the highest level of employment since the reunification" in 1990, Merkel recalled.
And a slowdown next year "should not leave us discouraged but should spur us on", said the chancellor, according to the text of her speech released in advance by her office.
Turning to the eurozone's efforts to tackle its three-year debt crisis, she judged that "the reforms that we have decided are beginning to work".
"However, we still need more patience. The crisis is a long way from being overcome."
She appeared more pessimistic than other eurozone leaders such as France's President Francois Hollande or even her own finance minister, Wolfgang Schaeuble, both of whom have declared the worst of the crisis over.
In an interview with mass circulation Bild last week, Schaeuble said: "I think the worst is behind us", citing positive developments in Greece and France.
Hollande has repeatedly said the eurozone crisis, which has at times threatened the very existence of the 17-country currency union, was past.
Merkel also called for better supervision of the financial markets, stressing: "The world has still not sufficiently learnt the lessons of the devastating financial crisis of 2008".
"Never again should such a lack of responsibility assert itself as before. In the social market economy, the state is the guardian of order and people have to be able to have confidence in that," added the chancellor.

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samedi 29 décembre 2012


Les ACTUALITÉS du site

La Chine renforce un peu plus son contrôle sur l'internet

Par Emmanuel | le 28/12/2012 à 22h08
 

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La Chine renforce un peu plus son contrôle sur l'internet
En Chine, il sera bientôt impossible de surfer sur internet de façon anonyme. En effet, ce pays vient d'adopter un texte visant à imposer aux internautes chinois de fournir leur véritable identité pour accéder à Internet et à tous les services qui permettent de poster des informations publiquement. Après la vérification d'identité effectuée, l'internaute aura toujours la possibilité d'utiliser un pseudonyme. La Chine veut donc accroître une fois de plus son contrôle sur l'internet.


C'est le comité permanent de l'Assemblée Nationale populaire qui a pris cette décision. Selon ce comité, de nombreuses mesures vont être mis en place afin d'accroître la protection des informations personnelles sur Internet et de garantir la sécurité nationale en Chine. Rappelons que ce pays figure parmi les nations les plus stricts en matière de contrôle de l'internet. Une censure tellement poussée que les internautes ne peuvent accéder à des sites américains comme Facebook ou Twitter.

Internet chine

Cette censure imposée aux internautes n'a pas empêché toute une série de scandales concernant le train de vie ou les mœurs de dirigeants du parti. Les internautes ont su contourner cette censure en usant de termes détournés ou des réseaux privés.

La Chine mène donc un combat pour mettre fin à ces failles. Le site microblogging Weibo, le Twitter local, doit vérifier l'identité de ses membres. De plus, à chaque souscription d'un abonnement à internet, il faudra fournir sa véritable identité. Les personnes souhaitant se connecter de façon anonyme, même dans un cybercafé auront beaucoup plus de mal.

Les sites internet devront également « cesser instantanément la transmission d'informations illégales » dès qu'ils en auront connaissance. Les internautes sont invités à signaler ces «activités illégales ».

La presse chinoise n'hésite pas à pointer du doigt les censures imposées par le gouvernement chinois. «Le monde du Net n'est pas un endroit hors la loi. Les paroles et les actions sur le Net peuvent violer consciemment ou inconsciemment la loi» a déclaré un journaliste.


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La Chine renforce un peu plus son contrôle sur l'internet

Par Emmanuel | le 28/12/2012 à 22h08
 

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La Chine renforce un peu plus son contrôle sur l'internet
En Chine, il sera bientôt impossible de surfer sur internet de façon anonyme. En effet, ce pays vient d'adopter un texte visant à imposer aux internautes chinois de fournir leur véritable identité pour accéder à Internet et à tous les services qui permettent de poster des informations publiquement. Après la vérification d'identité effectuée, l'internaute aura toujours la possibilité d'utiliser un pseudonyme. La Chine veut donc accroître une fois de plus son contrôle sur l'internet.


C'est le comité permanent de l'Assemblée Nationale populaire qui a pris cette décision. Selon ce comité, de nombreuses mesures vont être mis en place afin d'accroître la protection des informations personnelles sur Internet et de garantir la sécurité nationale en Chine. Rappelons que ce pays figure parmi les nations les plus stricts en matière de contrôle de l'internet. Une censure tellement poussée que les internautes ne peuvent accéder à des sites américains comme Facebook ou Twitter.

Internet chine

Cette censure imposée aux internautes n'a pas empêché toute une série de scandales concernant le train de vie ou les mœurs de dirigeants du parti. Les internautes ont su contourner cette censure en usant de termes détournés ou des réseaux privés.

La Chine mène donc un combat pour mettre fin à ces failles. Le site microblogging Weibo, le Twitter local, doit vérifier l'identité de ses membres. De plus, à chaque souscription d'un abonnement à internet, il faudra fournir sa véritable identité. Les personnes souhaitant se connecter de façon anonyme, même dans un cybercafé auront beaucoup plus de mal.

Les sites internet devront également « cesser instantanément la transmission d'informations illégales » dès qu'ils en auront connaissance. Les internautes sont invités à signaler ces «activités illégales ».

La presse chinoise n'hésite pas à pointer du doigt les censures imposées par le gouvernement chinois. «Le monde du Net n'est pas un endroit hors la loi. Les paroles et les actions sur le Net peuvent violer consciemment ou inconsciemment la loi» a déclaré un journaliste.